Retrouvez les réactions en conférence de presse après la belle victoire choralienne devant Châlons-Reims (96-89), vendredi soir lors de la 18e journée de Jeep® ÉLITE. Les réactions audio sont à retrouver sur activradio.com.

Jean-Denys Choulet (coach Chorale) : «Le basket c’est simple sport, c’est plus compliqué en attaque qu’en défense. Sur la première mi-temps on était à la rue complet, c’était un calvaire. Après c’est allé un peu mieux car j’ai utilisé les joueurs en condition physique. Si on n’est pas en condition on ne peut pas jouer au haut niveau. Ceux qui sont restés sur le banc, ils seront sur le terrain quand ils auront une condition physique acceptable. Ce n’est pas une belle victoire mais c’est une victoire avec le coeur et avec autre chose. Je suis content de voir Steeve comme ça, de voir Arthur rentrer et prendre des tirs. Le public a été bon mais il a mis du temps. On est arrivé nulle part, mais on n’est pas mort. Ce match là il est pour Pape Badiane, pour sa famille. On va ramener un très bon joueur, un premier tour de Draft. ça veut dire quelque chose. Il arrivera lundi.»

Clément Cavallo (capitaine Chorale) : «On manque de taille actuellement, donc il faut rattraper avec le coeur. On fait une grosse deuxième mi-temps, on s’est dit qu’on avait rien à perdre. Le petit bémol c’est de ne pas avoir su faire ça en première mi-temps. Tous ceux qui sont rentrés ont posés leurs fesses sur le terrain. Quand on défend comme ça on la Halle qui est derrière nous, c’est un plus. Au début on laisse trop d’espaces, ils arrivent à créer. On était toujours en retard. On a rectifié le tir en seconde mi-temps, on a plus parlé, on a été plus solides sur l’homme.»

Cédric Heitz (coach CCRB) : «Bravo à Roanne, ils ont su bénéficier du public et d’autres paramètres. On etait venu ici pour se montrer qu’on était capable de corriger le tir, mais ce soir en deuxième mi-temps l’adresse n’était pas avec nous : 1/17 à 3-points, ça a fait beaucoup de mal. C’était comme écrit qu’on n’obtiendrait plus certaines choses dans la raquette, alors que jusque-là on était constant. On ne shoote que deux lancers dans le dernier quart malgré plusieurs situations dans la raquette. ça a été une vraie difficulté. Je ne vais pas critiquer l’arbitrage, mais ce n’est pas simple.»

Jessie Begarin (arrière CCRB) : «La physionomie du match c’est l’inverse de Levallois où on commence mal et on termine fort. L’enjeu ne change pas, il faudra se battre jusqu’au bout.»