Retrouvez les réactions en conférence de presse après le match de la 23e journée de ProB entre la Chorale Roanne Basket et le SLUC Nancy dimanche après-midi, remporté par les Choraliens 80-74.

Ilian Evtimov (intérieur Chorale) : «On répond présent dans les gros matchs, le mental est là. On a contrôlé le match tout au long, même quand ils revenaient, même quand on ratait des lancers. C’est la défense qui nous fait contrôler le match, on frustre l’adversaire et on ne laisse rien de facile. Je le sais car j’ai joué contre Rouen. Il y a une grosse entraide entre les joueurs. La force de cette équipe, c’est la défense. Le fait de pas avoir Ferdi enlève une facette du jeu de l’équipe depuis quelques matchs, il était temps qu’on s’adapte. Ce championnat va se jouer jusqu’au denier buzzer du dernier match, chacun est capable de faire une série ou d’avoir une mauvaise passe. Rien n’est joué. C’est très bien de revenir à hauteur d’Orléans, mais il faut prendre chaque match à la suite.»

Laurent Pluvy (coach Chorale) : «C’est un gros match, même si par moment c’est plus compliqué car en face il y a une armada. La première mi-temps est d’une énorme qualité, en deuxième c’est un peu moins le cas car avec leur défense où ils changent sur tout et la sortie de Boukichou qui fait qu’ils jouent petit. L’évolution de notre basket est plutôt intéressante, on s’en sort plutôt bien avec Alexis et Pierre au poste 5 qui font le travail. On essaie de se réadapter. Face à une grosse adversité on a produit un joli basket, avec seulement 5 balles perdues. J’ai mes 6 joueurs français qui ont porté l’équipe. Je laisse à Christian Monschau le droit d’analyser le match, il a le droit de le penser. J’ai joué pour lui, je le connais. Ilian répond présent le jour où il a besoin de lui, on l’a pris pour ça. Il faut que ça continue.»

Christian Monschau (coach Nancy) : «En première mi-temps on n’était pas dans notre basket. En deuxième mi-temps On prend que 29 points dont beaucoup sur décisions d’arbitres, avec des lancers alors qu’il y avait du floping. On produit beaucoup d’énergies en deuxième mi-temps donc il y a quelques balles qui nous échappent, il y a des regrets. J’invite tout le monde à floper quand un shoot est raté car il y a un lancer et remise en jeu pour votre équipe.»